
Action collective pour les chauffeurs-livreurs Amazon
Cette cause allègue qu’Amazon a enfreint les lois relatives aux normes du travail en ne payant pas les chauffeurs-livreurs selon les normes minimales en matière d’emploi (y compris relativement au salaire minimum, au paiement des heures supplémentaires et aux primes pour les jours fériés) depuis 2016.
Cette cause allègue que même si elle emploie des chauffeurs-livreurs par l’entremise d’intermédiaires appelés fournisseurs de services de livraison, Amazon est, en réalité, l’employeur ou employeur commun de tous les chauffeurs-livreurs Amazon au Canada. Cela entraîne qu’Amazon est responsable de la conformité aux lois canadiennes en matière d’emploi et de s’assurer que ses chauffeurs sont correctement rémunérés.
Le tribunal décidera ultérieurement si la cause ira de l’avant comme action collective.
L’action vise à représenter tous les travailleurs actuels et anciens travailleurs qui livrent des colis pour Amazon au Canada à l’emploi d’un partenaire de services de livraison depuis le 1er janvier 2016 et tous les travailleurs actuels et anciens travailleurs qui livrent des colis pour Amazon au Canada par l’entremise de l’application Amazon Flex depuis le 1er janvier 2016.
- 9 mai 2023 : L’audience de la requête en certification et de la requête reconventionnelle en suspension est prévue devant le juge Perell.
- 6, 7, 8 décembre 2022 : Requête en certification et requête reconventionnelle en suspension programmées pour aller de l’avant.
- 12 juin 2020 : Le demandeur produit sa déclaration à la Cour supérieure de justice de l’Ontario.
- Déclaration produite (EN) le 12 juin 2020